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La Chine avance vite dans l’intelligence artificielle. Nvidia alerte l’Occident : il faut se réveiller, et vite. Car si rien ne change, c’est Pékin qui écrira les prochaines lignes de l’histoire technologique mondiale…
Lors du Hill & Valley Forum à Washington, Jensen Huang, le PDG de Nvidia, a fait passer un message sans détour. Pour lui, les États-Unis doivent réagir rapidement. C’est pour cette raison qu’il insiste autant : il faut investir dans la formation, la technologie et l’équipement.
En gros, la moitié (50 %) des chercheurs en IA sont chinois. Ce chiffre impressionne. Parce qu’il prouve qu’il ne s’agit plus de théorie, mais d’une avancée concrète. Et vous savez quoi ? DeepSeek n’est que le début.
Effectivement, la Chine avance à grands pas. Et, contrairement à ce qu’on pourrait croire, elle ne compte pas ralentir. D’où l’urgence de la réaction américaine.
Nvidia alerte sur un risque de décrochage stratégique
Au fil du temps, les États-Unis ont toujours su réagir vite aux grandes révolutions industrielles. Que ce soit avec l’énergie ou l’acier, ils ont su s’adapter. Aujourd’hui, ils semblent hésiter. Hélas, cette hésitation peut leur coûter cher.
Jensen Huang parle alors d’un « jeu infini ». C’est une image forte. Elle montre que l’IA ne connaît pas de fin. Lorsqu’une technologie évolue, une autre suit derrière. C’est pourquoi il faut être prêt à changer. Plus rapidement on s’adapte, plus grandes sont les chances de garder sa place.
En revanche, les tensions avec la Chine ne facilitent rien. Par suite de nouvelles restrictions, Nvidia ne peut plus vendre certaines puces à Pékin. Ces processeurs, comme le H20, étaient pourtant très demandés. Etant donné que cette interdiction vient d’être appliquée, les pertes sont déjà estimées à 5,5 milliards de dollars.
Robots, emplois et avenir du travail : ce que Nvidia prévoit
Lors du discours d’ouverture du GTC 2025, Jensen Huang a présenté Groot N1, un modèle fondateur pour les robots humanoïdes. Ce lancement vise à répondre à une pénurie mondiale de main-d’œuvre, qui pourrait devenir critique.
Vu les chiffres, on ne peut pas nier que le souci existe bel et bien. Huang a expliqué qu’il manquerait au moins 50 millions de travailleurs d’ici la fin de la décennie. Et selon lui, les robots sont une solution logique. Ils pourraient remplacer certaines tâches simples, répétitives ou pénibles. Même si c’est encore récent, on voit bien que la technologie progresse à toute vitesse.
Plus les années passent, plus l’IA s’installe dans nos métiers. Nvidia estime qu’elle pourrait occuper 20, 30 voire 40 % des emplois mondiaux.
Notons qu’il ne parle pas d’un remplacement total, mais une transformation profonde. Les pays doivent donc adapter leurs formations dès maintenant.
Et si on regarde de plus près, la demande pousse encore davantage. Les puces Blackwell manquent, certes, mais Huang rassure. Il explique sur Fox Business que la demande explose. Ce qui confirme que tout le monde est déjà prêt à passer à l’intelligence artificielle.
Le monde change vite, non ? Selon vous, qui va dominer l’IA demain : Pékin ou Washington ? Dites-nous ce que vous en pensez en commentaire !
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