Google Gemini est la 1ère IA à terminer Pokémon

Google Gemini est la 1ère IA à terminer Pokémon ! Voici comment elle a réussi

2.5 Pro a réussi à compléter Pokémon Blue, mais ce succès dépend d’une assistance externe. Un harnais d’agent à sa rescousse !

C’est avec enthousiasme que le PDG de , , publie cet exploit sur la plateforme X le 3 mai 2025. Cependant, cette victoire résulte d’un effort collaboratif. Le renfort n’est orchestré non pas par Google directement, mais par Joël Z, un ingénieur logiciel indépendant.

Gemini relève le défi Pokémon bleu

Pokémon Blue est un jeu iconique sorti en 1996 sur GameBoy. Ce titre, simple en apparence, demande une navigation précise et des décisions stratégiques. Ce jeu, bien que destiné à un jeune public, présente des défis complexes pour une intelligence artificielle (IA). 

Gemini 2.5 Pro n’est pas le premier à tenter l’aventure de Pokémon. En début d’année, des projets similaires relèvent le challenge, comme la chaîne Twitch Plays Pokémon.

À son tour, Google a fait une diffusion en direct intitulée Gemini Plays Pokémon, où l’IA navigue dans l’univers du jeu. Malgré les éloges, cette réussite doit être nuancée.

Gemini n’a pas agi de manière autonome. Le harnais d’agent et les ajustements de Joël Z l’ont beaucoup aidé. Comparé à Claude, qui progresse plus lentement dans Pokémon Red, Gemini bénéficie d’outils plus avancés, rendant les comparaisons directes hasardeuses.

Le harnais d’agent, le vrai coup de pouce

Pour accompagner Gemini dans Pokémon Bleu, Joel Z a développé un système d’assistance baptisé harnais d’agent. Ce cadre fournit à l’IA des informations clés, comme des captures d’écran enrichies et une mini-carte textuelle.

Ces assistances lui permettant de mieux se repérer dans les labyrinthes ou d’identifier les chemins praticables – une étape dans laquelle Claude, l’IA d’Anthropic, a peiné dans Pokémon Rouge.

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Des agents secondaires spécialisés ont aussi été intégrés pour résoudre des énigmes ponctuelles, comme le puzzle des rochers sur la Route Victoire. Joel Z insiste : « Il ne s’agit pas de tricher, mais de compenser les limites des IA actuelles, encore incapables de construire des représentations mentales complexes comme les humains ».

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