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La Switch 2 n’a pas encore atterri dans nos salons que les promesses explosent déjà tous les compteurs. Grâce à Nvidia, on sait désormais que cette nouvelle mouture de la console hybride s’annonce tout simplement… surpuissante.
Nintendo reste fidèle à sa discrétion légendaire, mais son partenaire Nvidia, lui, s’est un peu lâché. Dans une série de communiqués bien sentis, le 3 avril, le géant des cartes graphiques a levé le voile sur ce que la Switch 2 a réellement dans le ventre.
La Switch 2 coche toutes les cases
Dans un billet officiel relayé par la presse spécialisée, Nvidia a confirmé que la Switch 2 carbure à l’IA avec un SoC custom (System on Chip). Un modèle spécialement conçu pour la console. Le géant américain affirme avoir mobilisé l’équivalent de 1000 années-ingénieurs pour le développer.
Ce processeur maison intègre tout ce qu’il faut pour briller. Primo, des cœurs RT pour le ray tracing – bien le bonjour aux effets de lumière ultra-réalistes. Secundo, des cœurs Tensor pour faire tourner le DLSS (Deep Learning Super Sampling).
Résultat ? Une console capable de balancer de la 4K fluide sur une télé, et du 1080p à 120 images par seconde en mode portable.
Et ce n’est pas fini ! La Switch 2 profitera aussi du HDR et du VRR (taux de rafraîchissement variable) grâce à la technologie G-Sync de Nvidia, même en mode portable.
En d’autres termes : les images qui craquent ou qui se déchirent en plein combat, c’est terminé… pour de bon. Tout sera fluide, stable, beau. Bref, du confort visuel comme on l’aime.
Comment ça dix fois plus puissante ?
Nvidia a bien annoncé que la Switch 2 est dix fois plus puissante que la première du nom. Ce que la marque n’a pas fait, c’est expliquer pourquoi. C’est peut être parce qu’elle est riche en technologie.
DLSS, G-SYNC, VRR, ray tracing, écran HDR à 120 Hz, audio 3D, nouvelles vibrations… La console n’a rien à envier aux consoles de salon dernier cri. On est loin de la petite machine mignonne quoique limitée qu’on glissait dans son sac à dos en 2017.
Sinon, Nvidia ne parle pas de puissance brute. Mais plutôt de gains obtenus grâce à l’IA et à ses technologies d’optimisation. Car au-delà des performances pures, c’est toute une série de fonctionnalités jusqu’ici réservées aux PC de gamers qui débarque.
Suppression d’arrière-plan dans les chats vidéo, suivi du visage en temps réel pour les parties en ligne, ou encore compatibilité avec le RTX HDR et RTX IO pour sublimer les jeux et réduire les temps de chargement.
Pour info : ces derniers n’ont pas été citées officiellement, mais les connaisseurs ont reconnu leur petite signature technique dans les démonstrations.
Alors, ces révélations sur la puissance de la Switch 2, vous a aidé à voir la console d’un autre œil ? Racontez-nous dans le commentaire !
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