Elon Musk

Elon Musk a peur que Google crée une dictature de l’IA ! Révélations explosives

, le visionnaire derrière et , exprime de vives inquiétudes concernant l’avenir de l’intelligence artificielle. Des courriels récemment divulgués dévoilent ses craintes face aux ambitions de Google et de DeepMind.

Elon Musk a toujours exprimé ses inquiétudes sur les dangers de l’intelligence artificielle (IA). Pourtant, de récents e-mails dévoilés lors d’une affaire judiciaire entre et ses cofondateurs révèlent une peur encore plus profonde. Musk craint que , avec sa division , ne prenne le contrôle total de l’IA.

DeepMind : un succès qui suscite l’angoisse d’Elon Musk

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En 2016, Elon Musk exprimait ses craintes dans un e-mail resté secret jusqu’à récemment : « DeepMind me cause un stress mental extrême… Leur philosophie unique pour contrôler le monde est une mauvaise nouvelle. »

Ces mots, lourds de sens, visaient , cofondateur de DeepMind. Hassabis, selon Musk, pourrait exploiter l’intelligence artificielle générale (AGI) pour imposer une domination mondiale.

DeepMind, rachetée par Google en 2014, brillait déjà par ses exploits. Prenons l’exemple de AlphaGo, un programme capable de battre des champions humains au jeu de Go.

Ces prouesses technologiques, bien qu’impressionnantes, inquiétaient profondément Musk. Car selon lui, cette centralisation du pouvoir technologique sous une seule entité, comme Google, représentait une menace pour l’humanité.

C’est cette angoisse qui l’a poussé à agir. En 2015, avec Sam Altman, Musk a évoqué la possibilité de créer un projet alternatif. Dans un échange d’e-mails, Altman lui écrivait : « Si quelqu’un doit développer l’IA, mieux vaut que ce ne soit pas Google. »

Six mois plus tard, OpenAI voyait le jour. Cette organisation à but non lucratif voulait garantir une IA au service de tous, sans monopole.

Les tensions internes d’OpenAI révèlent des fractures

Malgré un objectif commun, l’histoire d’OpenAI n’a pas été un long fleuve tranquille. Néanmoins, dès 2017, des tensions profondes sont apparues entre Elon Musk et ses cofondateurs. En effet, Greg Brockman et Ilya Sutskever, figures clés du projet, doutaient des intentions réelles de Musk.

Dans un e-mail adressé à Sam Altman, ils ont exprimé leurs craintes : « Même si Musk prétend ne pas vouloir contrôler l’AGI, il semble insister sur ce point. »

https://twitter.com/jam3scampbell/status/1648195392557727744

Ces accusations n’ont pas laissé Musk indifférent. En raison de ces conflits, il a répliqué fermement, exigeant qu’OpenAI trouve des financements indépendants ou reste une organisation à but non lucratif.

Alors que la méfiance entre les cofondateurs grandissait, Shivon Zillis, proche collaboratrice de Musk, a rapporté qu’Altman lui-même perdait la confiance de ses partenaires. Selon elle, Brockman et Sutskever se comportaient de manière incohérente et puérile, ce qui rendait les négociations impossibles.

Finalement, ces désaccords ont atteint leur paroxysme. Musk, agacé par cette atmosphère tendue, a quitté OpenAI en 2018. Or, ce départ n’a pas marqué la fin des difficultés pour l’organisation.

Face à des besoins financiers croissants, OpenAI a dû évoluer. Elle s’est transformée en une entité à but lucratif, attirant ainsi des investisseurs prêts à financer l’énorme puissance de calcul nécessaire à ses modèles d’IA.

Rivalités technologiques : l’avenir de l’IA en jeu

Depuis lors, OpenAI s’est associée à , qui a investi un milliard de dollars en 2019. Grâce à cet accord, OpenAI a pu développer des produits révolutionnaires comme ChatGPT, un outil d’IA qui transforme la manière dont les entreprises et les particuliers interagissent avec la technologie.

Microsoft, de son côté, a intégré ces avancées dans ses propres solutions, notamment , qui vise à augmenter la productivité des professionnels.

Évidemment, Elon Musk n’a pas abandonné le combat. En 2023, il a fondé une nouvelle entreprise, xAI, avec une ambition claire : proposer une alternative éthique aux géants de l’IA.

Aujourd’hui, dispose déjà d’un centre de données impressionnant, avec 100 000 GPU et une alimentation électrique de 150 MW.

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Pendant ce temps, DeepMind continue de briller. Ses innovations, comme AlphaFold, qui révolutionne la recherche biologique, maintiennent Google au sommet de la compétition. Aussi, ces avancées alimentent les craintes de Musk, qui voit en elles un outil potentiel pour contrôler les choix humains.

Personnellement, je pense que la peur de Musk est justifiée. Pour lui, il ne s’agit pas seulement d’innover. Il faut surtout s’assurer que l’humanité reste au cœur des décisions technologiques. Êtes-vous d’accord ? N’hésitez pas à partager votre avis en commentaire.

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