le PDG de OpenAi Sam Altman fait face à un robot IA humanoïde chinois

OpenAI demande à Trump de bannir DeepSeek : graves accusations contre l’IA chinoise

« Bannir DeepSeek » devient le cri de guerre d’. Dans une proposition audacieuse à Trump, l’entreprise accuse une IA chinoise de jouer les pions de Pékin.

Une guerre froide technologique se trame dans le monde de l’IA. OpenAI, derrière , appelle l’administration Trump à bannir DeepSeek, une IA chinoise qui monte en puissance. La proposition, déposée le 13 mars 2025, ravive les tensions entre les États-Unis et la Chine. La course à la suprématie technologique s’accélère et les enjeux dépassent les lignes de code.

OpenAI ne mâche pas ses mots. DeepSeek, selon eux, reçoit des fonds et des ordres directs de Pékin. Ils pointent un modèle subventionné et contrôlé par l’État. Cette IA chinoise inquiète par son accès gratuit et ses performances proches de ChatGPT. Les développeurs adorent son prix bas, mais OpenAI y voit un piège. Le texte déposé auprès du Bureau de la politique scientifique et technologique parle clair. L’entreprise à but non lucratif demande une interdiction dans les secteurs sensibles comme l’armée et les services de renseignement.

OpenAI hausse le ton, bannir DeepSeek !

La demande ne s’arrête pas là. OpenAI veut bannir DeepSeek dans les infrastructures critiques. La comparaison avec Huawei revient souvent dans leur argumentaire. Ils craignent que le Parti communiste chinois (PCC) force DeepSeek à manipuler ses modèles. Cela pourrait causer des failles de sécurité ou des fuites de données. La lettre, signée par Chris Lehane, vice-président des affaires mondiales, insiste sur ce risque. Elle évoque aussi les puces chinoises, comme celles d’Huawei Ascend, à proscrire selon eux.

Par ailleurs, la bataille vise plus loin que DeepSeek. OpenAI parle d’intelligence générale artificielle, ou AGI, comme horizon proche. Ils estiment que les États-Unis doivent garder l’avantage d’ici 2030. La Chine, pendant ce temps, investit massivement pour dominer ce terrain. DeepSeek-R1, le modèle star de l’IA chinoise, impressionne par sa puissance et son coût réduit. Certains soupçonnent un vol de données d’entraînement d’OpenAI.

OpenAI met la pression sur un autre front en accusant DeepSeek de menacer la vie privée des utilisateurs. En effet, les lois chinoises obligent l’entreprise à partager des données avec le gouvernement. Cela pourrait servir à améliorer les systèmes du Parti communiste. Ils soulignent aussi des risques de vol de propriété intellectuelle. DeepSeek, disent-ils, génère trop facilement des contenus illicites.

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La proposition tombe à un moment opportun

La proposition d’OpenAi de bannir DeepSeek des États-Unis tombe à un moment clé. L’administration Trump prépare son AI Action Plan, et OpenAI veut peser dans la balance. Ils demandent des règles qui protègent les IA américaines sans les étouffer. Leur texte critique les lois d’État jugées trop lourdes. En parallèle, ils défendent le fair use pour entraîner leurs modèles librement. Cette stratégie vise à contrer l’avance chinoise tout en dopant leur propre croissance.

Toutefois, DeepSeek ne reste pas silencieux face aux attaques d’OpenAI. Propriété du fonds chinois High-Flyer, l’entreprise nie tout contrôle étatique. Pourtant, son chatbot refuse de répondre sur des sujets sensibles comme Tiananmen. Cela alimente les doutes d’OpenAI.

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