Apparemment, l’IA s’invite là où on ne l’attendait pas ! Dans la vraie vie, au bureau, dans les centres d’appels… l’IA pourrait bien être très utile pour ceux qui veulent un travail plus épanouissant, plus humain.
On a longtemps cru que l’IA allait piétiner les emplois et reléguer une partie des travailleurs au second plan. Mais un autre scénario se dessine, bien plus optimiste et plus intéressant. De plus en plus d’études montrent que l’IA ne vient pas effacer les humains du paysage professionnel, mais elle les soutient, les forme et les aide à progresser plus vite.
L’IA n’était pas là pour vous remplacer au travail, mais pour vous aider
Nous le savons tous que la Maison-Blanche mise à fond sur l’IA dans ses agences pour améliorer le fonctionnement de l’État. Et du côté des entreprises, on observe le même mouvement. Par exemple, une étude a suivi plus de 5 000 agents du service client d’un géant du logiciel. Ces employés, sous pression, confrontés à des clients parfois explosifs, ont été équipés d’un assistant IA basé sur GPT-3.
Par conséquent, la productivité a monté de 15 % en moyenne et plus de 36 % pour les débutants. L’IA leur a permis de mieux répondre, plus vite, et d’apprendre en temps réel. En plus, nous entendons souvent que les personnes peu qualifiées seront les premières victimes des nouvelles technologies. Au lieu de prendre des années pour maîtriser un métier, ces agents ont donc gagné en compétences en quelques mois.
Les humains sont encore plus indispensables que les robots
Je pense que l’IA pourrait aider plus de gens à accéder à des postes plus qualifiés, même sans de grands diplômes. Plutôt que de creuser les inégalités, l’IA peut ainsi rééquilibrer le jeu. Par exemple, même si une IA sait lire des mammographies, elle ne sait pas rassurer une patiente ou coordonner ses soins. Elle peut compléter, mais pas remplacer.
L’automate bancaire n’a pas tué le métier de caissier, il l’a transformé. Et c’est la même chose pour l’IA ! Elle libère du temps pour ce qui compte vraiment, l’empathie, la réflexion, la créativité. Des choses que les machines ne savent pas bien faire et tant mieux.
Mais attention, ça ne marche que si on met les bons outils en place. Aujourd’hui, les entreprises ne peuvent déduire fiscalement que la formation spécifique à un poste. Et si on changeait ça ? Former un salarié devrait être aussi évident que d’acheter une imprimante. Par ailleurs, pour les individus, on parle de « comptes d’épargne universels » afin de financer ses formations soi-même, sans se noyer dans la paperasse.
Et vous, comment voyez-vous l’IA transformer votre métier ? Partagez vos opinions dans les commentaires !
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