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Et si vieillir n’était plus une fatalité ? Selon Ray Kurzweil, l’humanité pourrait bien franchir une étape irréversible dans les années à venir.
L’immortalité ne relèverait plus du mythe, mais d’une échéance technologique à très court terme. Pour ce futurologue reconnu, l’heure serait venue de dépasser les limites du corps humain.
Ray Kurzweil, né en 1948, est loin d’être un rêveur sans fondement. Ce diplômé du MIT a construit sa réputation sur des inventions concrètes, comme la reconnaissance optique de caractères (OCR) et la synthèse vocale. Il a obtenu des récompenses prestigieuses, dont la National Medal of Technology.
Aujourd’hui ingénieur chez Google, il a aussi écrit plusieurs ouvrages sur le futur de l’humanité. Il y annonçait notamment la montée d’Internet, des smartphones et de l’IA bien avant que cela ne devienne réalité. Ses prédictions exactes en ont fait une voix respectée dans les débats technologiques.
La prédiction qui fait débat
Kurzweil affirme que l’humanité pourrait atteindre une forme d’immortalité d’ici 2030. Il appuie son raisonnement sur des évolutions technologiques déjà bien engagées.
Premièrement, il évoque la « longévité échappatoire ». Cela signifie que chaque année, les progrès médicaux pourraient allonger notre espérance de vie d’un an ou plus.
Deuxièmement, il imagine une fusion homme-machine. Des implants neuronaux nous permettraient d’interagir avec des intelligences artificielles, voire de transférer nos souvenirs sur support numérique. Ce concept d’« immortalité numérique« commence à intéresser des entreprises comme Neuralink.
Enfin, il mentionne la thérapie génique et les cellules souches. Ces outils pourraient inverser le vieillissement et neutraliser les maladies dégénératives. Ce n’est donc pas un simple rêve, mais un scénario en gestation.
Des bouleversements difficiles à anticiper
Une telle révolution poserait des grands défis à la société humaine. Le premier concerne les ressources naturelles. Si la mortalité diminue, comment nourrir une population toujours croissante sans perturber les équilibres mondiaux ?
Vient ensuite la question de l’identité. Si nous transférons notre conscience dans des serveurs, sommes-nous encore humains ? L’être numérique devient-il une nouvelle forme de vie ?
Il faut aussi parler d’inégalités. Si seuls les plus riches peuvent se prolonger indéfiniment, la fracture sociale risque de s’élargir. Une immortalité élitiste pourrait générer des tensions inédites entre classes sociales.
Kurzweil a souvent vu juste. Pourtant, cette prédiction sur l’immortalité d’ici 2030 dépasse l’imagination de beaucoup. Les technologies progressent vite, mais les enjeux éthiques, politiques et sociaux sont immenses. L’humanité est-elle prête à affronter un monde sans mort naturelle ?
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Le terme immortalité est erroné. L’univers lui-même n’est pas immortel. Tout finira par se désintégrer. La vrai immortalité ne peut se situer que dans une autre dimension, celle du royaume de Dieu.
Mais, il commence, à parler, d’espérance de vie, qui augmente, chaque année, puis, il parle, de transposer, l’état d’esprit, dans une sorte, de puce électronique, qui va fonctionner, comme le donneur. Donc, c’est de l’arnaque, de croire, que l’on en devienne, immortel, parce-qu’une, simulation électronique, simule, parfaitement, vos pensées. Ce n’est plus, sois-même. C’est plus, du tout, une question, de longévité, de vie. Mais, plutôt, un générateur, à pensées, simulant des défunts, auxquels, on pourrait, encore, théoriquement, converser.
Au fou ! Ce n’est tout de même pas compliqué de voir que ce serait ingérable : quid du temps de travail vs retraite, sans parler de la surpopulation ?
L’être humain est périssable, c’est une des vérités immuables de ce monde.
Big Freeze =
10¹⁵ d’années durée de vie des surhumains en ayant accès à l’immortalité biologique
10¹⁰⁷ d’années durée vie des posthumains en ayant accès à l’immortalité numérique
Big Crunch =
536 milliards d’années durée vie des surhumains en ayant accès à l’immortalité biologique
540 milliards d’années durée de vie des posthumains en ayant accès à l’immortalité numérique
A quoi bon être immortel ? Sans la mort il n’y a pas de vie.
Être éternellement con? Être éternellement arrogant et surfait ? Être éternellement malade de la richesse à la folie?
Si un dictateur devient éternel, que fera sont peuple ?
Et nous pauvre travailleur voulons nous travailler éternellement ?
Heureusement qu’il ne s’agit que d’une pensée, une réflexion sur la technologie qui ne donnerai que des dupes, des copies figé dans le temps sans nouvelles évolutions de la pensée, le contraire de notre vie, courte, éphémère de l’univers, mais si belle et surprenante dans sa versatilité. Une machine sans émotions serait une petite mort.
Décidément, l’humanité est en voie de cannibalisme aigu, à terme.