Cybersécurité NIS 2 : Keyfactor dévoile une feuille de route complète

La directive NIS 2 marque un tournant décisif pour la cybersécurité en Europe. Alors que les menaces se multiplient, ce texte impose aux entreprises de renforcer leur sécurité numérique par des stratégies modernes. Avec des solutions « identity-first », Keyfactor présente les étapes incontournables pour répondre aux exigences de cette directive.

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Une gestion rigoureuse des certificats, clé de la conformité

Pour se conformer à NIS 2, chaque entreprise doit maîtriser l’ensemble de ses certificats numériques. « Sans certificat, rien ne peut fonctionner », explique Keyfactor. Ces certificats permettent de sécuriser les communications et d’assurer une authentification fiable des identités et des machines. Une gouvernance rigoureuse est essentielle pour éviter toute vulnérabilité en cas d’attaque.

Le premier défi pour les entreprises est d’identifier et de contrôler leurs certificats. Un inventaire exhaustif doit être réalisé en temps réel. Cela inclut la validité, l’emplacement et l’utilisation de chaque certificat. Cette étape garantit que tous les assets cryptographiques respectent les normes imposées par la directive et assurent une traçabilité en cas de cyberattaque.

La directive NIS 2 préconise l’utilisation de technologies PKI (Public Key Infrastructure) modernes. Ces infrastructures garantissent une politique de cryptographie robuste et facilitent l’authentification multi-facteurs. Les entreprises doivent s’assurer que leur PKI permet une gouvernance centralisée des systèmes, même dans un environnement technologique hétérogène.

Les attaques récentes ont démontré l’intérêt des cybercriminels pour les clés de signature mal sécurisées. Ces dernières peuvent être utilisées pour créer des logiciels malveillants apparemment authentiques. Keyfactor recommande de définir des politiques de signature précises. C’est essentiel pour limiter l’accès aux clés selon des critères comme l’identité de l’utilisateur ou le moment de l’utilisation.

Une gestion manuelle des certificats comporte des risques d’erreurs ou de pannes. L’automatisation du cycle de vie des certificats permet d’éviter ces écueils et d’assurer la continuité des opérations. Cette automatisation garantit que les certificats expirés ou compromis soient rapidement remplacés. Cela renforce ainsi la sécurité globale.

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Opter pour une sécurité « zero-trust »

NIS 2 impose aussi une approche de sécurité « zero-trust », combinée à une gestion stricte des accès et des identités. Cette approche inclut des mises à jour logicielles régulières et une surveillance constante des risques. La politique de gestion des certificats joue un rôle crucial dans cette architecture de sécurité. Elle assure l’authenticité des logs d’audit et la fiabilité des signatures de code.

Je pense que la directive NIS 2 fixe un cadre strict mais essentiel pour protéger les entreprises européennes des cybermenaces. La mise en place d’une gestion optimale des certificats, comme le préconise Keyfactor, devient une étape incontournable pour garantir la conformité et la sécurité à long terme.

Article basé sur un reçu par la rédaction.

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