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Macron a refusé un test PCR pour ne pas livrer son ADN à la Russie

Emmanuel Macron a refusé de se soumettre à un PCR lors de sa visite à Vladimir Poutine le 6 février 2022. Pour cause, le Président français ne voulait pas laisser son ADN à la Russie. Une explication qui soulève de nombreuses questions…

Le gouvernement français nous l'assure depuis le début de la crise du Covid-19 : les mesures sanitaires telles que le Pass Sanitaire / Vaccinal, les attestations de déplacement ou les tests de dépistage ne représentent aucun danger pour la confidentialité et la vie privée. Et pourtant…

Le 6 février 2022, Emmanuel Macron s'est rendu à Moscou dans le but de discuter des tensions entre la Russie et l'Ukraine et de trouver une voie pour éviter le conflit militaire. Or, notre Président a été reçu dans des conditions bien particulières…

Cette image d'Emmanuel Macron et Vladimir Poutine, séparés par une table démesurément longue, a fait le tour du monde. Elle a déchaîné les réseaux sociaux et généré de nombreux  » memes « .

Mais en fait, pourquoi cette table de quatre mètres de long entre les deux chefs d'État ? De prime abord, on pouvait penser qu'il s'agissait d'une manière pour Poutine d'instaurer une distance avec Macron en raison de leurs désaccords.

L'explication serait en réalité plus subtile. Deux sources connaissant le protocole sanitaire du Président français ont révélé à Reuters que la Russie lui a laissé un choix : accepter un test PCR effectué par les autorités russes, ou respecter une distanciation sociale accrue.

Or, Emmanuel Macron a préféré se passer de poignée de main et s'asseoir à l'autre bout de cette immense table. Et pour cause, selon les sources de Reuters : il ne pouvait courir le risque de livrer son ADN à la Russie

Notre ADN est-il collecté et stocké lors d'un test PCR ?

À la place, Macron aurait choisi d'effectuer un test PCR en France avant son départ et un test antigénique effectué par son propre docteur une fois en Russie. C'est la raison pour laquelle il a été contraint de s'asseoir au bout de cette très longue table.

Ce protocole sanitaire très strict est imposé par Vladimir Poutine à ses visiteurs depuis le début de la pandémie de Covid-19. Le but est d'éviter toute contamination.

Avant Emmanuel Macron, d'autres dirigeants étrangers tels que le Premier ministre hongrois Viktor Orban ou le président iranien Ebrahim Raïssi ont également dû garder leurs distances lors de récentes visites. Au contraire, quelques jours après Macron, le président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev a été autorisé à serrer la main de Poutine et à s'asseoir avec lui autour d'une petite table.

Cette décision d'Emmanuel Macron soulève des interrogations. Et si les tests PCR effectués en France par les simples citoyens étaient utilisés pour séquencer nos ADN, et pour les entreposer dans une vaste base de données ? Une initiative qui rappelerait le projet entrepris par la Chine et dénoncé par les Etats-Unis pour collecter les données génétiques de tous les humains.

Sur les réseaux sociaux, les internautes s'interrogent et certains émettent même des théories complètes sur l'utilisation de l'ADN collecté grâce aux tests PCR. Précisons toutefois que rien ne prouve l'existence de tels détournements

D'autres s'interrogent également sur la pertinence de cette décision. En effet, même si Macron refuse le test PCR par les médecins russes, il a certainement laissé son ADN sur les couverts et les poignées de porte. S'agirait-il d'une fausse excuse pour atténuer l'humiliation infligée par Poutine ?

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1 commentaires

1 commentaire

  1. Je ne connais rien au domaine de l’espionnage mais il faut bien reconnaître qu’affirmer qu’un test PCR, si Macron l’avait accepté, aurait permis aux Russes de « mettre la main sur l’ADN du président » est d’une puérilité déconcertante. En effet, sans parler des sécrétions ou évacuations diverses, dont je vous passe le détail, que l’on pourrait récolter par exemple sur des draps (faut-il donc qu’un président utilise ses propres draps quand il voyage ?), une simple cellule de peau, même quand elle desquame, contient elle aussi l’ADN de l’individu. On peut donc imaginer qu’il s’agirait d’une « mission bidon » que de récolter l’ADN d’un président ou de n’importe qui d’ailleurs. Quant à l’utilisation que l’on pourrait en faire pour prédire, par exemple, qu’à cause d’un gène particulier l’individu risque de développer ou non telle ou telle maladie, cela nécessite souvent un avenir de quelques dizaines d’années alors que celui de Macron, en tant que président, s’arrêtera peut-être dans 2 mois et quelques jours.

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