Depuis le 17 janvier 2025, le règlement DORA (Digital Operational Resilience Act) impose aux institutions financières de renforcer leur sécurité et résilience numérique face aux cyberattaques. L’adoption de stratégies robustes de sauvegarde des données est désormais une priorité, et la règle 3-2-1 se présente comme une solution efficace. Kingston, acteur majeur du stockage sécurisé, souligne l’importance de ces technologies pour une cybersécurité renforcée et une conformité optimale à DORA.
Une réglementation pour renforcer la résilience numérique
Le règlement DORA, entré en vigueur le 17 janvier 2025, impose aux institutions financières de renforcer leur résilience numérique. L’objectif est de protéger les entreprises contre les cybermenaces croissantes. La mise en place de stratégies efficaces, comme le stockage sécurisé, devient ainsi essentielle pour garantir la continuité des activités.
Cette réglementation impose aux organisations de mettre en place des mesures concrètes pour se prémunir contre les interruptions de service. DORA oblige les entreprises à anticiper les menaces et à garantir l’intégrité de leurs données. Pour cela, elles doivent fournir une documentation précise des protocoles de sécurité et effectuer des tests réguliers. Cette approche proactive vise à éviter les conséquences désastreuses d’une cyberattaque sur l’économie numérique.

La règle 3-2-1 : une méthode éprouvée
Face aux menaces numériques, la règle 3-2-1 offre une protection optimale. « Avec cette méthode, il ne s’agit pas seulement de stocker des données, mais c’est aussi un moyen de s’assurer que les données récupérées sont opportunes et utiles à la continuité de l’activité« , explique Philippe Vynckier, expert en sécurité digitale. Cette approche repose sur trois principes : multiplier les copies, diversifier les supports et stocker une sauvegarde hors site.
Les entreprises qui appliquent cette méthode réduisent considérablement les risques de pertes de données, même en cas d’attaque majeure. Elles s’assurent une récupération rapide et efficace en cas de crise. Pour cela, elles conservent plusieurs copies dans des lieux distincts et utilisent des supports variés comme le cloud et les disques durs chiffrés.

Le chiffrement matériel pour une sécurité accrue
Les cyberattaques deviennent plus sophistiquées. Pour y faire face, le stockage chiffré constitue une solution efficace. Ce type de sauvegarde protège les données, car elles sont isolées du réseau. Il permet également de prévenir les attaques par force brute. « Face à l’augmentation des cyber-risques, l’adoption de stratégies de sauvegarde robustes est indispensable« , souligne Philippe Vynckier. Cette approche garantit une meilleure protection contre les menaces externes.
L’intégration du chiffrement matériel dans les dispositifs de stockage est essentielle pour garantir la confidentialité des données sensibles. Contrairement aux solutions logicielles, les systèmes de chiffrement matériel offrent une protection indépendante du système d’exploitation et empêchent les tentatives d’intrusion par des dispositifs malveillants. Cette approche renforce la fiabilité des sauvegardes et limite les vulnérabilités liées aux erreurs humaines.
Se conformer au règlement DORA implique l’utilisation de solutions adaptées aux nouvelles exigences de sécurité. Les entreprises peuvent combiner la règle 3-2-1 avec des dispositifs de stockage chiffrés pour assurer une résilience optimale. Avec ces solutions, elles limitent les risques et garantissent la protection de leurs données stratégiques, un enjeu majeur dans un contexte numérique incertain.
Article basé sur un communiqué de presse reçu par la rédaction.
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