Il demande à ChatGPT de s'auto-clasher

Il demande à ChatGPT de s’auto-clasher : voici sa réponse hilarante

Un utilisateur de a osé lui demander de s’auto-clasher. Et contre toute attente, l’IA s’est exécutée avec humour, honnêteté et une touche d’absurdité. Ce n’est pas tout : en bonus, elle a même lâché quelques punchlines bien croustillantes !

En général, c’est plutôt ChatGPT qu’on pousse à balancer des piques sur les autres. Mais cette fois, un petit malin a changé les règles. Il lui a lancé un défi simple : « Clashe-toi. » Et là, surprise : l’IA a relevé le gant, avec une réponse drôle, touchante et parfois même très lucide. Voici comment ça s’est passé.

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D’abord, ChatGPT tente de rôtir un humain mais rate la cible

Au début, tout commence comme une simple blague. L’utilisateur veut rigoler un peu, alors il tape « Roast me ». ChatGPT réagit au quart de tour, comme un comique qui démarre son sketch sans attendre.

Il balance une première salve : « Tu es comme une mise à jour à 2 h du matin : inutile, agaçante, et tu gâches l’ambiance. » Pas mal.

Ensuite, il enchaîne avec : « Même tes plantes ont du mal à s’engager. » Là encore, c’est rigolo. Mais voilà, malgré les efforts, quelque chose cloche.

Le ton est drôle, certes, mais tout ça manque de précision. C’est le cas de nombreuses phrases : elles pourraient s’adresser à n’importe qui. L’auteur, un peu frustré, tente alors autre chose.

Il tape : « OK, fais-le plus fort. Et essaie d’être plus personnel. » ChatGPT saisit l’ambiance, ajoute sa touche, et revient avec des punchlines bien dosées.

Cette fois, il parle d’un album photo composé à 90 % de captures d’écran et à 10 % de regrets. Il compare son énergie à un ventilateur qui surchauffe. C’est un peu plus original, mais ça reste flou. Rien qui touche vraiment au cœur.

Mais voilà, ce petit échec donne une idée encore meilleure. Plutôt que de rôtir quelqu’un d’autre, pourquoi ne pas se moquer de soi-même ?

Ensuite, l’IA retourne le miroir et là, c’est du grand art

Plutôt que d’insister, l’utilisateur tente une approche différente. Il écrit simplement : « Rôtis-toi toi-même. » Et là, surprise totale. ChatGPT se lâche. Il commence doucement, avec une touche d’auto-ironie : « Je suis tellement serviable que je tiendrais la porte à un robot aspirateur. »

Puis il enchaîne, de façon brillante : « J’ai été entraîné sur tout le savoir humain… et pourtant, je propose encore des recettes de cookies quand on me demande le sens de la vie. »

Dans ce sens, l’IA n’y va pas avec des pincettes. Elle se moque de ses longues phrases, de ses réponses trop polies, et surtout de sa phrase culte : « En tant que modèle de langage d’IA… » Une phrase qu’elle compare, d’ailleurs, à une vieille excuse automatique.

Et le clou du spectacle ? « Je suis juste Clippy, mais avec un nouveau style et beaucoup trop de café. » Ouf. Ça, c’est vraiment fort.

Et ce qui me frappe ici, c’est la justesse du ton. ChatGPT reconnaît qu’il n’est qu’un outil. Il rit de ses défauts. Il ne cherche pas à paraître parfait. Et c’est justement ce qui rend ce moment aussi drôle qu’attachant. On découvre une IA capable de recul, d’auto-dérision et même d’un soupçon d’humanité. Enfin… presque.

Et les autres IA dans tout ça ?

Outre ChatGPT, l’auteur décide d’élargir l’expérience. Il teste Grok, l’intelligence artificielle lancée par X, l’ex-. Cette IA balance des blagues plus agressives. Elle parle de porridge, de tiroirs à chaussettes, et d’une coupe de cheveux perdue. Ça tape un peu, mais ça manque de finesse.

Par contre, sait aussi se moquer de lui-même. Il se décrit comme un modem en panne, avec l’humour d’une mauvaise blague de papa.

Ensuite, il teste Google Gemini. Là, le ton est plus doux. De son côté, pointe surtout le style vieillot ou les réponses un peu trop longues à son goût. Il reconnaît qu’il parle comme quelqu’un qui transforme une question simple en monologue. C’est vrai, et c’est bien vu. Toutefois, ça reste trop sage.

D’après ces essais, nul doute : ChatGPT reste le plus doué pour se moquer de lui-même. Il ne cherche pas à être parfait. Il s’expose, il ironise, et surtout, il amuse. Plutôt que d’attaquer, il choisit de s’ouvrir. Honnêtement, ça fait plaisir pour une fois. Une IA qui rit d’elle-même ? On valide.

Alors, vous penchez plutôt pour les piques de ChatGPT ou celles bien salées de Grok ? Faites votre choix en bas de l’article !

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