Et si la vraie communication, c’était d’abord une histoire d’humain ? Charlotte Couffon revendique une communication authentique qui bouscule les codes lisses des réseaux sociaux et réconcilie stratégie et sincérité.
À l’heure des contenus artificiels et des algorithmes tyranniques, Charlotte Couffon, fondatrice de Cornaline Communication, prône un retour à l’humain. Elle assume un ton sincère, spontané, parfois brut, mais toujours aligné. Sa vision : faire des émotions une force et de l’authenticité un levier d’impact. Car aujourd’hui, c’est en parlant vrai que l’on construit une communication durable et différenciante.
L’authenticité comme manifeste professionnel
Charlotte Couffon ne s’en cache pas ! Elle assume ses émotions, ses ratés, ses fous rires sur Instagram. Une posture que certains jugent « trop authentique », mais qu’elle revendique comme essentielle. « C’est ça qui a toute sa place », affirme-t-elle, en opposition aux normes implicites des réseaux sociaux. Sa vision s’inscrit dans un mouvement de fond : celui d’un retour au réel face à l’intelligence artificielle qui produit des contenus clonés et interchangeables. Pour Couffon, le vrai crée le lien : « Pas le parfait. Pas le marketé. Le vrai. Celui qui fait qu’on s’attache. » En creux, elle interroge un modèle de communication qui sacrifie l’intention à la quête de visibilité. Et propose une alternative radicale : incarner son message plutôt que le performer.

LinkedIn et Instagram, un grand écart assumé
Dans le monde feutré de la communication corporate, peu osent parler d’alignement émotionnel. Charlotte Couffon, elle, revendique ce « grand écart » entre les plateformes. Instagram comme terrain d’émotion et de coulisses ; LinkedIn comme espace d’expertise et de rigueur. « Ce n’est pas être schizophrène. C’est être complet. » Ce double registre permet à la marque — personnelle ou professionnelle — d’exister dans toutes ses nuances. Un choix stratégique autant qu’éthique : offrir une communication à la fois incarnée et structurée. Ce choix reflète un besoin croissant d’authenticité dans les sphères professionnelles, porté par une génération d’entrepreneurs qui refuse de compartimenter son identité. Charlotte Couffon assume cette dualité et dessine une nouvelle cartographie de la communication digitale. Elle est plus poreuse, plus humaine, mais toujours alignée.

L’alliance réseaux sociaux et relations presse
Si les réseaux sociaux accélèrent la visibilité, ils ne suffisent pas à crédibiliser une marque. « La visibilité sans crédibilité, ça fait du bruit, pas de l’impact », prévient Charlotte Couffon. Elle défend un mix intelligent entre communication digitale et relations presse. Une tribune dans un média ciblé, une interview bien menée, une parution stratégique : autant d’actions qui viennent renforcer le discours de fond. Dans cette perspective, le contenu sincère devient un levier d’autorité, à condition d’être orchestré avec rigueur.
Résultat, selon elle : « visibilité, notoriété, génération de leads qualifiés. Sans tricher. Sans surjouer. » Ce modèle repose sur une conviction forte : la communication est d’abord une affaire de relation. Derrière chaque message, il y a une voix. Et derrière chaque voix, une personne. En replaçant l’humain au centre, Cornaline Communication va au-delà des effets de mode pour toucher à ce qui compte vraiment : la confiance.
Article basé sur un communiqué de presse reçu par la rédaction.
- Partager l'article :