En 2025, les écoles chinoises imposent des confinements face à la hausse des cas de COVID-19.
Alors que le monde n’est pas encore remis de la crise du covid-19, une nouvelle vague menace. La variante NB.1.8.1 se propage notamment en Chine, où le régime dissimule les données. Les quarantaines scolaires témoignent d’une crise bien plus profonde que ce que les rapports officiels laissent entendre. Le même drame est-il sur le point de se reproduire ?
Covid-19 en 2025, une vague de confinements dans les écoles chinoises
Dans des provinces comme Guangzhou, Shaanxi et Jiangsu, plusieurs établissements scolaires suspendent les cours et isolent les élèves après la détection de cas. Les premiers symptômes observés sont souvent une forte fièvre.
Récemment, en mai 2025, une école primaire de Guangzhou a émis un avis de confinement à domicile pour un élève de CE2 testé positif. Cette information a circulé sur Douyin avant d’être rapidement censurée.
Cette opacité, dénoncée par des experts, complique le suivi du variant NB.1.8.1, actuellement dominant en Chine. De plus, elle alimente les craintes d’une nouvelle crise sanitaire mondiale.
En juin 2025, la Chine avait rapporté un total de 99 381 761 cas confirmés de COVID-19, représentant environ 6,83 % de la population. Le nombre total de décès était de 122 398, soit environ 0,12 % des cas infectés.
En juillet 2025, une légère augmentation de l’activité virale a été observée, notamment dans les provinces du sud, où le variant NB.1.8.1 est devenu prédominant. Cette tendance a conduit à une reprise des mesures de confinement localisées dans certaines écoles et quartiers.
Pourtant, médecins et habitants décrivent une situation bien plus préoccupante. À Guangzhou, le Dr Kang Hong rapporte des symptômes sévères, tels que le « poumon blanc », touchant aussi bien les adultes que les enfants.
Les tests restent limités afin d’éviter la panique. À Shenzhen et Hohhot, des témoignages font état de toux persistantes, diarrhées, voire de décès soudains, notamment chez les personnes âgées de 40 à 50 ans.
Dissimulation et variant NB.1.8.1
Le variant NB.1.8.1, sous étroite surveillance de l’OMS, se propage rapidement grâce à sa transmissibilité accrue. Pourtant, la censure sur des plateformes comme Douyin et X, combinée à l’absence de dépistage systématique, obscurcit la véritable ampleur de l’épidémie.
Des médecins, tels que Liu Kun à Hohhot, prévoient une explosion des cas de covid-19 en juin et juillet 2025, et peut-être le début d’un confinement. En parallèle, des habitants comme M. Xu à Benxi décrivent des symptômes persistants, quasi incurables.
Pendant ce temps, le régime construit discrètement des hôpitaux mobiles, tout en refusant de rapporter l’ensemble des cas, d’après plusieurs témoignages. Cette dissimulation, souligne l’expert Sean Lin, empêche de retracer les chaînes de contamination, mettant en péril la sécurité sanitaire mondiale.
Des cas de NB.1.8.1 apparaissent déjà dans les pays voisins et aux États-Unis. Cependant, l’absence de données fiables complique la coordination d’une réponse mondiale efficace.
FAQ
Oui, plusieurs provinces chinoises, notamment Guangzhou, Shaanxi et Jiangsu, ont mis en place des confinements localisés dans certaines écoles et quartiers à cause de la propagation du variant NB.1.8.1. Ces mesures étaient ciblées et temporaires.
Pour le moment, aucune autre grande nation n’a annoncé de confinement strict. La plupart des pays suivent la situation de près et se concentrent sur la vaccination, le dépistage et les mesures de prévention.
Port du masque dans les lieux publics, hygiène des mains, limitation des rassemblements et vaccination restent les mesures les plus efficaces. Les autorités locales diffusent également des directives spécifiques selon les zones touchées.
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encore ces put de chinois ils n en n ont pas marre de nous emmer qu ils aillent se faire foutre pas questionde refaire comme en2019,cest bidon pas question d etre enquiquine !
Bah alors , on attend toujours mdr
100% humain les golems