L’IA issue de la collaboration entre Alibaba Cloud, l’Université Sun Yat-sen et l’Université de Sydney a permis la découverte de 160 000 nouveaux virus à ARN. C’est une révolution !
Une étude révolutionnaire montre comment l’intelligence artificielle a identifié plus de 160 000 nouvelles espèces de virus à ARN, élargissant ainsi notre compréhension de la diversité virale.
Cette méthode, développée par une équipe internationale, utilise l’IA pour analyser la « matière noire » génétique, permettant de découvrir des virus dans des environnements extrêmes. Cette approche pourrait transformer la virologie et la bioinformatique.
L’IA LucaProt : mieux que votre biologiste pour découvrir les virus
Cette découverte révolutionnaire résulte d’une collaboration entre Alibaba Cloud, l’Université Sun Yat-sen et l’Université de Sydney. L’équipe a créé LucaProt, un algorithme d’apprentissage profond.
Ce progrès est dirigé par le professeur Edward Holmes de l’Université de Sydney et Mang Shi de l’Université Sun Yat-sen. Et ce, avec la contribution du Dr Zhao-Rong Li d’Alibaba Cloud Intelligence.
LucaProt est conçu pour détecter les virus à ARN. Il utilise un modèle d’apprentissage profond qui dépasse les pipelines bioinformatiques traditionnels. Il analyse les séquences génétiques et les structures secondaires des protéines de réplication pour identifier rapidement les espèces virales.
Cet outil d’IA peut détecter près d’une espèce par seconde avec une grande précision. Cette capacité révolutionne la découverte de virus, réduisant considérablement le temps nécessaire à ces recherches traditionnelles.
Où est-elle, la révolution ?
Cette étude, publiée dans Cell, est la plus vaste jamais réalisée sur la découverte de virus dans des environnements variés. Elle a révélé des virus dans des milieux extrêmes, comme l’atmosphère, les sources chaudes et les sources hydrothermales.
Les résultats mettent en lumière la biodiversité exceptionnelle des virus à ARN et leur grande adaptabilité. Ce qui ouvre la porte à de nouvelles perspectives pour comprendre l’évolution des virus et d’autres formes de vie élémentaires dans ces conditions difficiles.
Les répercussions de cette découverte sont considérables, offrant des perspectives d’application en médecine, technologies de la santé et agrotechnologie. En approfondissant notre connaissance de la biodiversité virale, les chercheurs pourront mieux anticiper et contrôler les futures pandémies.
D’ailleurs, les méthodes d’intelligence artificielle développées dans cette étude pourraient conduire à de nouveaux outils en génomique microbienne et en épidémiologie. Ce qui permet des réponses plus précises et rapides aux menaces virales
Grâce à cette avancée, les chercheurs veulent améliorer leur outil d’IA pour découvrir davantage de diversité virale à l’avenir. De plus, l’intégration de l’IA en virologie accélère les découvertes et éclaire des aspects inconnus de l’évolution et de l’écologie virales. Cela représente un progrès majeur pour ce domaine.
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Fin rien de bien fou en avance médicale des nouveau virus il y’en a tout le temps est on comprend une infime partie des condons et leurs interactions.
Donc ça sert à rien pour l’instant biologiquement parlant
ON VA YOUS MOURIRRRR