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Gemini 3 : ce leak révèle la panique d’OpenAI face à l’IA qui ratatine ChatGPT

Gemini 3 Pro vient à peine de frapper que déjà les murs tremblent chez OpenAI. Un mémo interne de Sam Altman, fraîchement leaké, dévoile une ambiance à mille lieues du storytelling habituel. “Rough vibes”, “catching up fast”, stagnation des revenus… Le leader historique de l’IA ne fanfaronne plus : il encaisse. Et face à un Google revenu en mode bulldozer, l’aura d’invincibilité de ChatGPT se fissure.

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Pendant deux ans, la guerre Google–OpenAI ressemblait à la Ligue 1 : un leader incontesté, un poursuivant un peu essoufflé, et un suspense surtout imaginé par le marketing. Puis Gemini 3 Pro est arrivé, et tout le scénario a volé en éclats.

Ce que personne n’attendait, ou du moins pas si tôt, c’est un mea culpa interne de Sam Altman lui-même. Un mémo confidentiel qui tranche avec l’assurance publique de l’entreprise et révèle un OpenAI qui doute, qui rame et qui commence à regarder Google avec une inquiétude palpable.

Altman en mode “rough vibes” : quand le boss avoue ce qu’il cache au public

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“Ambiances rudes.” On croirait presque un euphémisme de startuper pour dire “tout le monde panique discrètement, mais gardons le sourire”. C’est pourtant le terme exact utilisé par Sam Altman dans son message aux employés.

Le ton tranche radicalement avec sa rhétorique habituelle à base de croissance infinie, de trillion-dollar company et de “nous sommes en avance sur tout le monde”

Cette fois, le CEO reconnaît que le moral interne est en berne, que la boîte n’est “pas invincible” et surtout… qu’elle est désormais en mode “catching up fast”.

Oui : OpenAI court derrière Google.
Et ça, en interne, ça secoue.

Les salariés, eux, oscillent entre gratitude pour la transparence et grosse montée de stress. Les rumeurs d’un gel des embauches circulent déjà. Et l’ambiance de San Francisco, autrefois “gagnant par défaut”, vire doucement à la mentalité “mode guerre”.

Google repasse devant : le moment où Gemini 3 a brisé le mythe de la supériorité OpenAI

https://twitter.com/OfficialLoganK/status/1991327656990896372?s=20

Imaginez un duel d’escrime où l’un des deux tireurs avance en sifflotant, sûr de son talent… et se prend un coup de fleuret en plein menton. C’est à peu près ce que ressent OpenAI après Gemini 3 Pro.

Les benchmarks indépendants sont sans ambiguïté : Gemini 3 Pro surclasse GPT-5.1 dans le raisonnement complexe, le code, l’analyse logique, et les enchaînements multi-étapes.

Le fameux “moat”, l’avantage prétendument infranchissable d’OpenAI, s’est évaporé en quelques semaines. De quoi transformer la confiance en fébrilité.

OpenAI, qui depuis 2023 se voyait comme le seul adulte dans la pièce, découvre soudain que Google a retrouvé sa puissance, son ambition et son avance en compute. Pour la première fois depuis GPT-4, la hiérarchie n’est plus évidente.

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La chute libre : OpenAI prépare un ralentissement brutal de ses revenus

Petit aparté comptable : mieux vaut s’asseoir.

Altman prévient ses troupes que la croissance pourrait dégringoler à 5–10% en 2026 dans le scénario pessimiste. Un crash vertigineux quand on rappelle qu’OpenAI tournait encore à +200% il y a peu.

Côté finances, l’atterrissage est violent. La société projette un passif opérationnel de 74 milliards de dollars d’ici 2028. Un gouffre jamais vu dans la tech. Et soudain, la phrase d’Altman “la rentabilité n’est pas une priorité” sonne beaucoup moins cool.

Ce ralentissement remet en question un modèle bâti sur la combustion massive de GPU et une croissance illimitée. Si les revenus stagnent avant que l’infrastructure n’ait le temps de se rentabiliser, la corde financière pourrait devenir très fine.

L’illusion de la demande infinie : le vrai problème, c’est l’entreprise qui ne suit plus

Vous avez déjà vu ces POCs d’IA qui dorment dans des dossiers Drive poussiéreux ? Eh bien, à l’échelle mondiale, c’est pareil.

Le mémo cite des freins très précis : Microsoft temporise des intégrations Azure AI faute de capacité… mais aussi faute de ROI clair. Salesforce ralentit ses pilotes GPT, préférant attendre que l’IA tienne ses promesses.

Et dans le reste du marché, c’est pire : 95% des pilotes GenAI n’aboutissent jamais en production.

Le contexte macro se durcit également : les hyperscalers ont fait exploser leurs dépenses, avec près de 400 milliards de dollars annuels en data centers. Un chiffre monstrueux… pour un usage qui peine à se transformer en chiffre d’affaires.

Greg Brockman, fidèle à la doctrine OpenAI, persiste : “le vrai risque, c’est de ne pas avoir assez de compute.”

Mais ce dogme du “plus de GPU = plus de valeur” se heurte à un marché qui freine des deux pieds.

OpenAI en mode survie : finie l’ère du “vainqueur par défaut”

C’était la boîte qui dominait tout : benchmarks, hype, mindshare, levées de fonds.
C’était.

Le leak montre une organisation obligée de redevenir humble, rapide, disciplinée. Un OpenAI qui ne peut plus compter sur son aura, mais doit prouver qu’il peut rattraper Google et retrouver un modèle économique durable.

Dans la Silicon Valley, le narratif OpenAI a toujours été un bouclier. Maintenant, ce bouclier se fissure. Et les investisseurs, qui acceptaient hier des pertes illimitées, commencent à poser des questions nettement plus terre-à-terre.

La guerre n’est pas finie, mais la peur a changé de camp

Gemini 3 a fait plus que battre OpenAI sur des benchmarks : il a fait tomber la façade de confiance absolue qui entourait ChatGPT.

OpenAI n’est pas fini, loin de là. Mais pour la première fois, l’entreprise doit se battre, s’adapter et revoir sa trajectoire. Car la course n’est plus seulement technique : elle devient financière, stratégique et psychologique.

Et une question plane désormais sur toute l’industrie : si même OpenAI doute, qui peut encore prétendre maîtriser l’avenir de l’IA ?

Et vous, qu’en pensez-vous ? Comment OpenAI peut-il revenir face à Google ? La startup est-elle condamnée à disparaître face à la puissance du GAFAM ? Partagez votre avis en commentaire ! 

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