Cloud Models write on a book. Supported by an additional services isolated wooden table.

Le Cloud Hybride devient la priorité en entreprise, Oracle se hisse en leader

D'après Constellation Research, aurait « deux générations d'avance sur tout le monde » dans la constitution d'une base de données autonome et éprouvée en production.

L'ascension inévitable du hybride

Le cloud est incontournable pour toutes les entreprises souhaitant transiter vers le numérique. Sa valeur s'est d'ailleurs accrue durant la crise sanitaire du Covid-19. En effet, les sociétés souhaitent non seulement accélérer leur passage vers le digital, mais elles projettent aussi de rationaliser les coûts. Cela justifie les prédictions du cabinet de recherche IDC sur les dépenses mondiales attribuées au cloud public. Cette année seulement, une hausse de 21,7 % serait prévue contre 55 % d'ici 2023.

A terme, toutes les entreprises utiliseront des modèles centrés sur le cloud. Parmi celles-ci, une grande majorité optera nécessairement pour le cloud hybride. Néanmoins, d'ici 2022, IDC estime que les entreprises devraient exploiter le déploiement natif du cloud pour moderniser  50 % de leurs applications. Ce même cabinet indique qu'en 12 mois, l'adoption du cloud hybride a doublé. Ce progrès provient de l'utilisation des outils de gestion en plus des capacités de gouvernance.

Alors certes, les fournisseurs de cloud orientaient les entreprises vers le cloud public au tout début. Cependant, de nombreux clients étaient réticents en raison de problèmes de coût, de conformité et de sécurité des données. De même que certains d'entre eux se laissaient tenter par des data centers privés pour leurs charges de travail. Tout cela a encouragé le développement de plateformes de cloud hybride dont Oracle Cloud.

Les coûts de réseau dissimulés

En général, les DSI optent pour le cloud hybride en raison des nombreux avantages qu'il propose. L'on compte par exemple les coûts optionnels, les coûts de licence logicielle, le volet innovation, l'automatisation, le système autonome ainsi que la sécurité des données. En effet, les entreprises veulent garder sur site une quantité énorme de charges de travail. Beaucoup omettent cependant le coût du réseau qui est un coût caché en matière de cloud hybride.

Oracle, le moins cher sur le marché

Alors que tous affichent des tarifs surélevés, Oracle se démarque du lot grâce à sa politique de sortie. En effet, ce coût de sortie est gratuit jusqu'à atteindre le seuil de 10 téraoctets. Une fois ce nombre surpassé, le coût de sortie est facturé. Toutefois, les prix d'Oracle sont largement bon marché comparé aux offres de la concurrence. Cela signifie que le transfert de données d'un cloud public vers un cloud sur site est possible, sans que cela n'incombe des coûts de réseau dispendieux.

Des sources affirment que la tarification proposée par Oracle Cloud Infrastructure serait à 80 % moins chère que ce qu' Web Services propose dans une poignée de régions. Awini, une startup logée en Arabie Saoudite peut en témoigner. « La maintenance par Oracle est de très haute qualité et sans période de blocage pour certaines technologies. Tout le monde dit qu'AWS est moins cher, mais d'après notre expérience, les prix ne sont pas constants et peuvent parfois monter très haut. Nous travaillons avec Oracle pour connecter notre back-end à leur ERP par étape » ajoute le Dr Abdul Rahman Sultan, PDG d'Awini.

Newsletter

Envie de ne louper aucun de nos articles ? Abonnez vous pour recevoir chaque semaine les meilleurs actualités avant tout le monde.

Cliquez pour commenter