La British Library, un bastion du savoir, a subi une cyberattaque. Parmi les victimes potentielles, JK Rowling, la célèbre auteure de Harry Potter, semble être touchée. Ce texte explore les détails et les implications de cette attaque numérique.
Le 31 octobre, un gang de ransomwares nommé Rhysida a frappé la British Library. L’impact fut immédiat : vol de données clients et employés, paralysie des services en ligne. Ce qui alarme davantage, c’est la potentielle exposition des données du Public Lending Right (PLR), impactant des auteurs comme JK Rowling.
La British Library attaquée, données de JK Rowling en danger
Les répercussions de la cyberattaque contre la British Library s’étendent au-delà de ses murs. Par ailleurs, l’adresse de JK Rowling pourrait, malheureusement, apparaître sur le dark web. Cette situation alarmante révèle la vulnérabilité des données personnelles dans le cyberespace.
Des informations cruciales sur les clients et les employés ont été volées le 31 octobre. En conséquence, le site Web de la bibliothèque, ses systèmes en ligne et certains services restent inaccessibles. Ce vol, revendiqué par Rhysida, un gang de ransomwares, génère de sérieuses préoccupations.
JK Rowling et l’impact sur les auteurs
JK Rowling, ainsi que d’autres auteurs célèbres, se retrouvent dans une position délicate. En effet, le vol de données pourrait inclure des adresses et emails de nombreux utilisateurs, dont ceux inscrits au PLR. Ce programme gère les paiements pour le prêt de livres par les bibliothèques britanniques.
Les auteurs, informés par email, sont invités à changer leurs mots de passe et à rester alertes face aux tentatives de phishing. Bien que les documents d’identité et les informations financières ne semblent pas compromis, l’anxiété persiste.
Répercussions et réactions face à la cyberattaque
La communauté littéraire exprime son inquiétude. Ainsi, des experts comme Tim Coates et Brian Lake partagent leurs préoccupations concernant la sécurité des données et l’intégrité de la British Library. De plus, Jake Moore, d’ESET, indique que les données de célébrités, telles que celles de JK Rowling, pourraient valoir cher sur le dark web.
Un porte-parole deJK Rowling, interrogé pour un commentaire, a opté pour le silence. Parallèlement, la British Library collabore étroitement avec la police et des experts en cybersécurité pour surmonter cette crise.
- Partager l'article :