MongoDb : tout savoir sur le programme de base de données

MongoDb est aujourd’hui un grand allié dans la majorité des besoins en matière de données.

Qu’est-ce que MongoDB ?

Au fait, MongoDb est un programme de base de données qui figure dans la liste des plus populaires. Il a vu le jour dans la société « MongoDB ». C’est un programme NoSQL et c’est son caractère principal.

Alors, la connaissance de SQL n’est en aucun cas obligatoire pour gérer efficacement une base de données MongoDB. Quant à ses autres caractères, MongoDb est relationnel et open source, ce dernier étant principalement ce qui le rend célèbre. Au fait, MongoDb permet de stocker des données non structurées au format JSON.

MongoDb : avantages

MongoDb se base d’une architecture de base de données sans schéma fixe. Et, c’est son plus grand avantage. En effet, ce modèle permet de gérer facilement le et sert favorablement et en temps réel pour les applications Web. Ensuite, MongoDb est particulièrement appréciable pour sa convivialité. Toutes les données créées sur MongoDb peuvent être vues et contrôlées de manière significative. Par conséquent, il n’y a aucunement raison de s’en préoccuper. Puis, l’ajout, la modification ou la suppression des données disponibles est parfaitement simple. Et ce, sans aucune erreur de la part du programme.

Les avantages ne s’arrêtent pas là. Il est évident que MongoDb est ultra-performant. Cela dit, les données insérées arrivent rapidement. MongoDb se recommande alors aux personnes qui recherchent un programme répondant parfaitement aux exigences de gestion des données de leurs applications Web.

Faire le choix entre MongoDB et SQL

C’est parfois difficile de choisir : SQL ou NoSQL ? Cela dit, en gros, le choix dépend grandement des structures de données de l’entreprise ou du projet.

Qu’est-ce-que SQL ?

SQL signifie langage de requête structuréContrairement à MongoDb, on l’utilise dans les systèmes de gestion de base de données relationnelle structurée. Son rôle est de programmer et de prendre en charge les données structurées dans les systèmes. SQL est un langage qui se base sur des requêtes. De ce fait, pour récupérer et modifier les enregistrements de données disponibles, les programmeurs s’engagent à écrire des requêtes SQL.

SQL était l’unique programme dédié aux bases de données jusqu’en 2000. Cependant, les besoins en données se multipliaient d’année en année pour devenir énormes. Ainsi, la gestion des données non structurées de manière structurée est devenue compliquée. C’est pour cette raison que les bases de données NoSQL comme MongoDb arrivaient en photo. Ce dernier se présentait alors comme la solution moderne de la gestion de base de données à partir des années 2000.

Globalement, SQL est idéal en 3 cas. En premier lieu, lorsque les données sont petites. En deuxième lieu, que celles-ci sont disponibles selon un schéma relationnel. Et en troisième lieu, si elles sont structurées.

Et qu’en est-il de MongoDb ?

Comme expliqué précédemment, les données de MongoDb peuvent être stockées au format JSON. Donc, les utilisateurs ont la possibilité de stocker des documents selon leurs besoins. Le terme « non structuré » provient en fait du fait qu’aucune relation n’existe entre les données.

MongoDB : sécurité

MongoDb garantit entièrement la sécurité à ses utilisateurs. Cela dit, un cryptage protège toutes les données qui s’y trouvent. Ainsi, elles ne pourront pas être décryptées et ce, ni par les autres utilisateurs, ni par le programme lui-même. Seuls les propriétaires de la base de données pourront y avoir accès.

Parfois, il arrive que des bases de données particulières s’exposent à des personnes extérieures. Alors que, ce fait menace intensément la confidentialité des utilisateurs d’une entreprise particulière. Cela incite à dire que malgré que MongoDb soit sécurisé, il est préférable de crypter les données du côté des applications Web avant de les stocker. Il s’agit par exemple de se servir de mots de passe forts pour les données sensibles.

De toute façon, les propriétaires d’une base de données MongoDB particulière ne devraient pas non plus voir les données sensibles de leurs clients.

Guide du débutant avec MongoDb

Configurer un espace de travail MongoDB serait totalement difficile pour un débutant dans la matière. Voici alors les étapes à suivre.

Étape 1 : Création du compte personnel MongoDB

La première chose à faire est de visiter la page d’inscription de MongoDb. Ensuite, il suffit de remplir le formulaire et suivre les consignes. Une fois l’inscription réussie, un e-mail arrivera en guise d’accusé de réception.

Étape 2 : Création d’un projet MongoDB

Le nom de projet peut simplement être un nom d’organisation, c’est-à-dire le nom de l’entreprise initiateur du programme. Ensuite, il faut tout simplement cliquer sur le bouton Continuer.

Étape 3 : Création d’un cluster

MongoDb dispose d’un large choix de type de cluster pour créer un cluster spécifique. Dès lors, presque toutes les options sont payantes. Chaque option représente des limitations de fonctionnalités et des limitations d’espace du cluster spécifique.

Ainsi, pour les débutants, l’option gratuite reste l’idéale. Elle dispose des fonctionnalités requises suffisantes. Et, l’espace de 512 Mo sera assez pour les nouveaux projets à créer.

Suivant les consignes, l’utilisateur sera redirigé sur une autre page sur laquelle celui-ci devra sélectionner les options qu’il souhaite. Et en outre, de tout conserver juste tel qu’il apparaît par défaut. Il pourra ensuite créer le cluster.

Étape 4 : Création de l’accès à la base de données

L’accès à une base de données MongoDB à partir d’un ordinateur spécifique requiert l’adresse IP de celui-ci. Il devra être envoyé à MongoDb.

L’option « accès à la base de données » se trouve dans la liste déroulante du côté gauche. Evidemment qu’il faudra cliquer sur celle-ci. Puis, il faut cliquer sur le bouton « Ajouter une adresse IP ». Après cela, une fenêtre contextuelle s’invitera à l’écran où il y aura deux options à choisir. L’option 1 récupère l’adresse IP actuelle de l’utilisateur. Si celui-ci désire y accéder uniquement à partir de son ordinateur et non à partir d’autres appareils, il choisira cette option. L’option 2 par contre, permet d’y accéder à partir de n’importe quel appareil et de n’importe quel lieu.

Cependant, les points suivants sont à prendre en compte. Il arrive des fois que l’adresse IP actuelle de l’utilisateur soit modifiée. La déconnexion d’un ordinateur ou les modifications de la connexion Internet peuvent en être la cause. Si dans ce cas l’utilisateur choisit la première option, il ne pourra pas accéder à la base de données MongoDb. De fait, il vaut toujours mieux sélectionner la deuxième option si une personne seulement accèdera et utilisera la base de données. Sinon, l’utilisateur sera toujours obligé de donner son adresse IP actuelle une fois que l’adresse IP change.

La configuration d’une adresse IP se fait en seulement quelques minutes ou secondes même. Une fois que cette étape se termine, l’adresse IP s’affichera pour que l’utilisateur le voit à chaque accès.

Étape 5 : Configuration de l’accès à la base de données

Cette cinquième étape consiste en fait à créer un utilisateur qui pourra accéder à la base de données. Chaque utilisateur de la base de données MongoDb créé peut faire objet d’une quelconque limitation. Il suffit juste de cliquer sur le bouton « Ajouter un nouvel utilisateur de la base de données. » De ce pas, MongoDb demande la méthode d’authentification, le nom d’utilisateur et le mot de passe de l’utilisateur. Il faudra également choisir le type de privilège d’accès à la base de données. Une fois tout cela rempli, l’utilisateur peut cliquer sur le bouton.

Comme pour l’adresse IP, si un utilisateur de base de données MongoDb s’enregistre avec succès, celui-ci s’affiche dans la liste.

Étape 6 : Mise en place d’une collection.

Les bases de données se créent dans l’endroit appelé collection. Ensuite, l’utilisateur peut créer ses collections à l’intérieur de ces bases de données. Ainsi, dans cette rubrique Collections se trouvent tous les documents de données de l’utilisateur au format JSON. Aussi, toutes les données provenant du côté client de l’utilisateur y sont disponibles. Mais, à condition que celui-ci ait lié son MongoDb à une application Web.

En effet, l’utilisateur peut très bien stocker ses données dans des collections spécifiques, appartenant par exemple à des bases de données spécifiques. Il doit tout simplement les programmer du côté du développement d’applications Web. Pour ce faire, les étapes à suivre sont les suivantes. Tout d’abord, l’utilisateur doit naviguer dans la page d’accueil du cluster. Ensuite, il doit cliquer sur les onglets des collections. Après ce pas, MongoDb redirigera l’utilisateur dans une fenêtre où il pourra créer un exemple d’ensemble de données fourni ou même de créer ses propres données.

Étape 7 : Connexion de MongoDB avec une application Web.

Toute la configuration de MongoDb est presque terminée jusqu’à l’étape 6. Maintenant, il ne reste que la septième et dernière étape. Arrivé à ce stade, l’utilisateur peut aisément connecter le programme à une application Web. Voici alors le procédé pour le faire. L’utilisateur doit d’abord revenir à nouveau vers la page d’accueil du cluster. Ensuite, il pourra appuyer sur le bouton de connexion qui s’affiche.

Restez à la pointe de l'information avec LEBIGDATA.FR !

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Newsletter

La newsletter IA du futur

Rejoins nos 100 000 passionnés et experts et reçois en avant-première les dernières tendances de l’intelligence artificielle🔥